
Le Plan Nature

En complément à cette page : le Guide de jardinage des rues par les citoyens
Vous souhaitez vous impliquer dans le retour de la Nature en Ville ?
Plusieurs possibilités vous sont désormais offertes pour agir concrètement dans l’espace public. Les rues, les espaces verticaux et les trottoirs représentent une surface importante souvent disponible à la végétalisation. Protéger la flore spontanée de vos pieds de mur, entretenir un microjardin sur le trottoir ou faire courir des plantes grimpantes sur votre façade est désormais possible.
En transition écologique, la Ville de Nancy soutient les initiatives citoyennes. Elles participent au développement de la biodiversité urbaine à l’embellissement des rues, et à l’amélioration du confort thermique.
Le permis de végétaliser façades et pieds de mur face à la rue est une autorisation d’occupation temporaire du domaine public. Elle sera accordée à toute personne qui s’engage à installer et entretenir un dispositif de végétalisation. Cette initiative est soutenue techniquement et financièrement par la Ville après évaluation du projet. Propriétaire ou locataire, vous pouvez demander l’ouverture d’une fosse de plantation dans le trottoir.
Ce guide a pour but de vous accompagner dans cette démarche. Il vous aide à faire votre choix parmi les différentes manières de végétaliser votre facade. Il vous propose une liste de plantes adaptées à notre région.
Un formulaire vous permettra de présenter votre candidature.
Végétal partenaires
Dès le XVIIIe siècle, les sociétés prennent conscience que le végétal dans la ville améliore la qualité du climat. Aujourd'hui, allié de l'homme et de son environnement, le végétal ne cesse de prendre de l'importance dans les têtes. Les villes préservent de plus en plus leur patrimoine car des études scientifiques démontrent les services rendus en termes de régulation climatique, de biodiversité et de santé.

Santé physique
Les personnes qui vivent à proximité d'un espace de nature pratiquent une activité sportive plus régulièrement que la moyenne. Le taux d'obésité est plus faible chez ces habitants. D'autres bénéfices sont avérés comme l'augmentation de la durée de vie, avec une réduction des risques cardia-vasculaires et des troubles respiratoires.
Santé psychologique
Aux bienfaits sur la santé physique s'ajoutent les bienfaits sur la santé psychologique. Réduction des troubles de l'attention, amélioration de la capacité de concentration, réduction du stress et amélioration de L'état de santé mental ressenti.
Lien social
Grâce aux activités qui s'y déroulent, les espaces de nature renforcent la cohésion sociale. Ils créent des occasions de contact entre les habitants. Ces interactions contribuent à La vie de la communauté et développent un sentiment d'appartenance.
Régulation thermique
L'effet d'îlot de chaleur urbain est une différence thermique notable entre ville et campagne. Il est problématique pour la santé, la durée de vie des matériaux et le climat local. Le rôle essentiel de la végétation pour réguler ce phénomène a été démontré.
Qualité de l'air
La qualité de l'air est une préoccupation majeure en milieu urbain. Grâce à la photosynthèse, Les plantes absorbent le C02 présent dans l'air. Les poussières et quelques polluants sont aussi captés par les végétaux. Ceux-ci contribuent donc à purifier l'air urbain.
Infiltration des eaux
La perméabilité des sols végétalisés permet une meilleure prise en charge des eaux pluviales. La végétation urbaine est un atout contre les risques d'inondation et d'érosion des sols.
Mise en valeur
La proximité d'espaces de nature urbains publics et privés est l'un des principaux critères plébiscités ar les habitants. Les Logements proches d'un espace végétalisé se vendent plus cher.
Agriculture urbaine
L'agriculture urbaine est un vocabulaire utilisé pour toute production agricole et alimentaire à l'intérieur d'une ville. Elle connaît un réel essor et présente un potentiel économique non négligeable. Elle apporte aussi une dimension paysagère, environnementale et de lien social.
Faire le mur vert
Recouvrir de végétal tout un mur favorise la biodiversité et crée une ambiance rafraîchissante. En ville, les espaces verticaux sont importants et disponibles. Les Nancéiens sont incités à faire le mur.

pourquoi des plantes à la verticale ?
Développer la biodiversité.
Pour la faune, la végétation est un refuge, une source de nourriture et un moyen de déplacement d'un espace de nature à un autre.
Économiser l'énergie.
La végétation améliore L'isolation thermique d'un bâtiment.
Isoler du bruit.
Les plantes ont un effet significatif sur L'absorption des ondes sonores.
Climatiser.
L'air ambiant, au contact de la façade, est rafraîchi grâce à la transpiration des plantes.
Améliorer la qualité de l'air.
Gâcce à l'absorption des poussières, du CO2 et de certains polluants, L'air se purifie.
Augmenter la durée de vie.
Les plantes protègent le mur de L'humidité, des ultra-violets et des chocs thermiques.
Améliorer le cadre de vie.
La végétation contribue à une ambiance urbaine plus agréable.
Sur la façade exactement
Les végétaux sont plantés en pleine terre, c'est essentiel. Il faut donc casser le revêtement du sol, préparer une mini tranchée le long du mur et préparer le terrain. Les grimpantes partent ensuite à la conquête de la façade, toujours plus haut.
Les plantes s'accrochent
Les plantes sont choisies en fonction de l'ensoleillement, de la quantité d'eau disponible, du volume et du type de sol urbain. Pour s'accrocher au mur, elles utilisent des ventouses ou des racines-crampons. Pour limiter l'entretien, Les plantes pérennes sont préférables.
La bonne surface
Les plantes à racines-crampons ont besoin d'une surface rugueuse, de la pierre, des briques, du ciment ou du crépi. Les plantes à ventouses peuvent se fixer aux surfaces plus lisses.


Sur la façade séparément
Une autre solution consiste à créer une couverture végétale détachée de la façade. Les végétaux se développent sur une structure en bois ou en métal, séparée de la façade. Elles sont pourtant toujours enracinées en pleine terre. C'est une constante.



Contenir l'expansion
Au printemps, une taille limite L'expansion de végétaux trop vigoureux. Pour les plantes à fleurs, c'est à réaliser après la floraison. Attention à l'alimentation en eau, certaines variétés supportent difficilement la sécheresse, d'où l'importance de la sélection de départ, en lien avec le climat local et le sol.
Pieds d'arbres en fleurs
La démarche se veut participative. En fleurissant des pieds d'arbres, les citoyens s'approprient l'espace urbain et s'impliquent dans le développement de la nature en ville.

Pourquoi fleurir le bitume ?
Développer la biodiversité.
La présence des diverses strates végétales favorise le développement de corridors écologiques. Pour la faune, les plantes sont un refuge et une source de nourriture.
Protéger le sol.
Grâce aux plantes, le sol n'est pas tassé par les piétons et les véhicules.
Enrichir le sol.
La végétation enrichit le sol en humus nécessaire à la nutrition des arbres.
Diminuer l'entretien et la fréquence des interventions qui sont principalement liées au désherbage ou de débroussaillage.
Protéger l'arbre.
L'arbre ne subit plus d'éventuelles blessures dues aux outils de fauche ou de tonte.
Améliorer l'aspect esthétique.
La rue adopte un aspect très nature.
Partir du bon pied
La possibilité de fleurissement de pieds d'arbres est étudiée par la Direction des Parcs et jardins en fonction des conditions locales (largeur du trottoir, présence de grilles ... ) et des essences présentes dans la rue.
Vivaces et annuelles
Les pieds d'arbres peuvent accueillir des plantes annuelles, vivaces et même des arbustes. Attention aux grimpantes qui enserrent l'arbre et brident la circulation de La sève. Les plantes toxiques présentent également un risque pour les enfants et les personnes non informées. Il faut prendre en compte l'ensoleillement du site, le type de sol et la concurrence que ces végétaux nouveaux vont avoir avec les racines de l'arbre.
Annuelles et légères
En été, semer des plantes annuelles permet un enracinement de faible profondeur. Elles supportent bien la concurrence des racines de l'arbre. L'opération est à répéter chaque année. Il existe des mélanges spécifiques de graines pour fleurir les pieds d'arbres.
Vivaces durables
Quelles que soient les conditions d'ombre et de concurrence des racines, il existe presque toujours des vivaces qui permettront de fleurir un pied d'arbre. L'avantage est qu'elles s'épanouiront, année après année.
Ombre : Aspérule odorante, Épimèdes, Pervenche et certaines Ancolies
Mi-ombre : Acanthes, Ancolies, Anémones du japon, certains Aster, Cœurs de Marie, Hellébores, Géraniums vivaces, Lamiers.
Sous l'arbre, l'arbuste
Si la quantité de sol disponible est suffisante, il est aussi possible de planter certains arbustes. Chèvrefeuille arbustif. Fusain persistant, Abélia nain, Liseron de Turquie, Romarin.
Planter et entretenir



Avant de pouvoir planter ou semer, il est nécessaire de préparer le terrain en décompactant sa partie superficielle. Un mélange de terre et de compost pourra être apporté si la quantité de sol fertile n'est pas suffisante. Les végétaux peuvent ensuite être installés ou semés.
Veiller à arroser après la plantation pour faciliter la pousse. Un paillage naturel limitera le développement des herbes folles. Pour Limiter la croissance des arbustes, ceux-ci doivent être taillés une fois par an, à la fin de l'hiver pour ceux qui fleurissent en été et à la fin du printemps pour ceux qui possèdent une floraison printanière. Les vivaces doivent être rabattues en hiver.
Semer l'idée de la prairie
Les prairies bruissent et bourdonnent d'une microfaune. Ce sont des habitats fabuleux pour un grand nombre d'espèces animales et végétales. À Nancy, elles fleurissent depuis 2013 dans divers espaces publics. Elles se ressèment naturellement, les jardiniers ne les arrosent pas et pourtant la biodiversité urbaine sourit. Les citoyens peuvent créer d'autres prairies, dans l'espace privé.

Pourquoi des prairies fleuries ?
Développer la biodiversité.
Elles sont appréciées par les insectes pollinisateurs qui y trouvent pollen et nectar. Elles offrent aussi des ressources aux oiseaux insectivores et granivores.
Améliorer l'esthétique.
Alternative au gazon monotone, une prairie fleurie offre un spectacle coloré et vivant.
Diminuer Le coût.
Le semis de prairie fleurie est un fleurissement économique, à l'achat comme à l'entretien.
Diminuer l'entretien.
Une fois le sol préparé et le mélange semé, elles ne nécessitent qu'une à deux fauches par an, avec ramassage du foin. Ce qui est plus écologique qu'un gazon tondu tous les 15 jours ou des plantations de fleurs annuelles qu'il faut arroser tous les 2 à 3 jours.
Où semer ?
Les prairies fleuries sont à privilégier dans les espaces que l'on veut aménager sans y consacrer beaucoup de temps. Elles s'adaptent aussi très bien dans les petits espaces difficiles à désherber comme les pieds de murs ou les pieds d'arbres.
Il existe un grand nombre de mélanges de graines, correspondant à des attentes différentes en fonction des types de sol, de l'ensoleillement, des couleurs souhaitées ou de la période de fleurissement. Il est toujours préférable de choisir des semences de plantes sauvages et locales. Dans des sites où la végétation est abondante et diversifiée, semer une prairie fleurie n'apporterait pas d'avantage. Les espaces piétinés, trop ombragés ou au sol trop riche sont aussi à éviter .
Installer et entretenir


Choisir le période.
Deux périodes conviennent bien à l'installation d'une prairie fleurie : le début du printemps et le début de L'automne. En semant en avril ou mai, la prairie fleurira en juin et juillet. En semant entre fin août et début septembre, elle fleurira au printemps suivant. Semer en automne laisse le temps aux graines de germer et aux plantules de s'enraciner avant les premières gelées. Les plantes seront moins soumises à La concurrence des herbes folles. La quantité de semence nécessaire en est réduite (autour de 3 g/m2 contre 7 g/m2 pour un semis d'été).
Préparer la surface.
Avant de semer, la végétation existante doit être supprimée. Pour cela, il faut effectuer un travail du sol évidemment sans herbicide. Ensuite, un faux semis réduira la quantité d'herbes folles. En les laissant germer sur le sol nu, il suffit ensuite de les enfouir, juste avant d'effectuer le semis, en travaillant le sol superficiellement sur environ 5 cm.
Semer.
Le semis se pratique à la main ou avec un semoir. Il faut respecter La densité recommandée par Le fournisseur en mélangeant les graines à du sable fin. Les semences seront ensuite tassées au rouleau sans toutefois être enfouies.
Les graines qui sont recouvertes ne peuvent pas germer. L'entretien se limitera à une à deux fauches annuelles en juillet, août, voire parfois, septembre. Une action tardive est plus favorable à la biodiversité. Effectuer deux passages permet de limiter la hauteur des plantes et d'éviter que celles-d se couchent lors de fortes averses. La première fauche doit être effectuée à environ 10 cm du sol. Lors de la seconde, il est conseillé de couper les plantes à ras du sol pour un résultat esthétique l'année suivante. Une petite partie de la prairie sera préservée intacte et haute pour servir de refuge à la faune pendant l'hiver. Il n'est pas nécessaire d'arroser une prairie fleurie. cela. favoriserait la. pousse de graminées.
Les années vont ensuite passer. La prairie va évoluer et petit à petit perdre de son attrait esthétique. Pour palier à cela, un sursemis peut être réalisé. Après la fauche de septembre, une scarification du sol et le ramassage du foin, semer un mélange de graines de plantes vivaces redonnera à la prairie toute sa splendeur au printemps suivant.
Des cimetières pour la vie
En repensant l'aménagement des cimetières du Sud et de Prévllle, l'objectif de faire de ces lieux de mémoire nancéiens des exemples en matière de gestion écologique.

De la pierre au vert
Améliorer l'ambiance.
Une nature plus présente crée une atmosphère plus calme, propice à la méditation et au recueillement.
Développer la biodiversité.
Dans un cimetière traditionnel, très minéral, la vie végétale ne s'épanouit pas. un cimetière se doit d'accueillir la faune et la flore qui y trouvent un refuge.
Augmenter la qualité de l'air.
L'apport de plantes participe à l'absorption des poussières, du CO2 et de certains polluants urbains.
Favoriser l'Infiltration des eaux de pluie.
La perméabilité des sols végétalisés associée à la contribution des plantes au cycle de l'eau permettent une meilleure répartition des eaux pluviales.
Diminuer l'entretien.
L'arrêt du désherbage systématique et la présence plus abondante du végétal simplifie l'entretien des espaces.
Du traditionnel au naturel
Il s'agit de faire évoluer les cimetières du Sud et de Préville en espaces de nature à part entière. Aussi, faut-il procéder à un verdissement différencié en fonction de l'usage, de la facilité d'accès et d'entretien, du piétinement et de la circulation.
Entrée principale
Zone d'accueil des visiteurs, l'entrée principale donne la première impression. Elle est esthétique et respectueuse de l'environnement avec des revêtements perméables. Des zones de fleurissement contribuent à rendre agréables les entrées des cimetières.
Allées principales (1)
Ces larges allées ouvertes à la circulation de véhicules sont difficilement végétalisables mais elles peuvent être bordées de tranchées végétales.
Allées secondaires (2)
Les allées secondaires qui ne subissent qu'un passage occasionnel peuvent être engazonnées ou végétalisées avec des plantes vivaces résistantes.
Entre-tombes (3)
Les espaces qui séparent les tombes ne sont pas piétinés mais leur accès difficile rend l'entretien délicat. Les planter de vivaces couvre-sol ou les semer de semences "prairie fleurie" est une bonne option.

Gestion écocertifiée
L'entretien est moindre par rapport à un cimetière minéral et il peut être réalisé gâce à un désherbage manuel (binette, arrachage), mécanique (herse rotative, brosse rotative, tondeuse, débroussailleuse, grille traînée ou thermique).
Garantie de bonne gestion écologique, le label Ecojardin a déjà été obtenu pour douze espaces de nature : le jardin Paul Verlaine et le parc Sainte-Marie ont été des précurseurs dès 2013. L'ambition est d'écocertifier l'ensemble des parcs et jardins nancéiens. Dans cette démarche, les cimetières du Sud et de Préville pourraient également concourir à la labellisation.
Sauvages et spontanées
Les jardins de fissures s'inspirent des plantes qui colonisent d'elles-mêmes les rues. Le pied d'un mur, un interstice entre les pavés, entre les roches d'un muret, autant d'espaces pouvant accueillir un brin de nature. Les citoyens sont Invités à retrouver ces espaces oubliés.

Pourquoi les fissures ?
Développer la biodiversité.
Pour la faune, notamment pour les oiseaux et les insectes pollinisateurs, Les plantes sont un refuge et une source de nourriture.
Conquérir le minéral.
Une fissure peut contenir une petite quantité de substrat qui permet à la végétation de se développer dans des espaces qui lui sont d'habitude inaccessibles.
Améliorer le cadre de vie.
La végétation contribue à une ambiance urbaine plus agréable.
Améliorer l'aspect esthétique.
un ancien mur, un muret ou encore un sol pavé sont mis en valeur grâce à des touches de végétation. Les couleurs et les formes des plantes sont soulignées.
La végétation adaptée
Pour coloniser des fissures, il suffit d'ajouter un peu de substrat et de semer ou de planter des végétaux. Il est important de bien choisir les variétés car les conditions de développement de chaque plante sont spécifiques. Dans ces très petits espaces, la quantité de substrat est minime, tout comme l'espace utilisable pour les racines et la quantité d'eau disponible.

Spontanées
Une possibilité est de laisser les espèces spontanées coloniser d'elles-mêmes le milieu. La plupart d'entre elles offrent de nombreux services pour la biodiversité.
Saxifrage à trois doigts, chénopode blanc, laiteron maraîcher, cardamine hirsute, oxalide camiculée, mouron des oiseaux, euphorbe péplus, séneçon commun, crépide de nîmes, grand plantain, pâturin annuel, sagine.

Succulentes
Si les fissures sont situées dans une zone ensoleillée et chaude, ces plantes succulentes (communément appelées plantes grasses) sont adaptées.
Avec leur variété de formes, de couleurs et de textures, elles permettent de réaliser de magnifiques compositions. Attention à la tenue au froid de certaines d'entre elles. Beaucoup de variétés résistent à la sécheresse et sont idéales pour orner un mur de pierres ou combler des interstices.

Couvre-sol mais pas que
Les plantes rampantes basses sont appelées couvre-sol. Certaines d'entre elles peuvent se développer entre les pavés d'une allée, entre des rochers ou dan les fissures d'un mur.
Place à l'ombre
Pour les endroits ombragés et humides, les fougères apportent du volume. Il est très facile de les multiplier par division en replantant chaque partie obtenue.

Ça mousse
La mousse convient bien à un environnement humide et ombragé. On peut l'acheter en pépinière spécialisée ou la transplanter d'un endroit à l'autre du jardin. Il est interdit de l'arracher dans un espace naturel. Elle doit être arrosée régulièrement jusqu'à une bonne reprise.

Cascade végétale
Des plantes grimpantes retombantes peuvent être installées dans les fissures d'une façade ou en haut d'un mur. En se développant, elles produiront l'effet d'une cascade.

Graminés
Certaines graminées s'adaptent aux murs et aux crevasses. Légères et volumineuses, elles créent une ambiance paisible au jardin.